mardi 12 avril 2011

The Lost Symbol, Dan Brown

Waouh. Plus d'un mois et demi sans poster.
Dure est l'activité de blogueur et son apprentissage.
L'assiduité, dont je n'ai pas fait preuve dernièrement, est sans doute une des composantes sans quoi je ne vais pas fidéliser une audience.
Mais vous, mes 3 lecteurs (merci Maman, Papa et belle inconnue), ne m'en tiendrez pas grief, n'est-il pas ?
Sinon j'ai plein d'excuses. J'ai lu des gros pavés, je suis parti au bout du monde sauver la veuve et l'orphelin, j'ai fait dans le multi-lingue... Non, vraiment pas ?
Bon savourez alors. Et laissez moi rattraper mon retard.

Commençons donc par Dan Brown. Je ne sais pas pour vous, mais il y a quelques années, lors de l'explosion du "Da Vinci Code" (avant sa sortie au cinéma), j'avais fait partie de ceux qui avaient été enthousiasmés par ce livre. Un mélange de 24h et d'Indiana Jones, à Paris. Trop d'ingrédients pour ma faible petite personne. J'avais plongé dedans, je l'avais dévoré. Sans le placer comme le bouquin de l'année, c'était pour moi le bouquin de gare idéal.
Je m'étais alors jeté sur Anges & Démons, qui faisait intervenir les mêmes personnages, les mêmes ingrédients, mais à Rome cette fois. Une recette qui marchait aussi bien que le premier, même si Dan Brown avait un peu forcé la dose de surnaturel.
Je ne m'étendrai pas sur les deux autres (Forteresse Digitale et Deception Point), qui pour le coup m'avaient déçu.

J'ai donc quand même tenté l'aventure sur ce dernier. J'ai même été un peu fou, j'ai voulu lire l'oeuvre dans son texte original, afin de me nourrir de l'essence pure de Brown, d'apprécier son véritable style... Je ne suis pas crédible ? J'aurai juste lu ce livre en anglais parce que je jugeais qu'il n'était pas trop compliqué ? Rhooooooo, vous êtes mauvaises langues...

Sans tout dévoiler pour les aficionados, je n'ai pas été déçu ni surpris par ce nouvel opus. On est dans la lignée des 2 premiers, mais à Washington cette fois. On plonge dans l'univers de la Franc Maçonnerie, et tout ce lit très bien en anglais.
Voilà. Ça m'a presque donné envie de visiter Washington. Je n'en demandais pas plus. That's it !

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