mercredi 30 novembre 2011

Miracle Cure, Harlan Coben

Harlan Coben. Bien que je ne sois pas un fan inconditionnel, on retrouve pas mal de ces œuvres dans le blog.
Pourquoi ?
Pour une raison toute simple. Coben, c’est un peu mon Burger King.
Je m’explique.
La junk food, ça nous arrive à tous de craquer et d’y aller. Par facilité, par faiblesse… Mais tant qu’à faire, autant choisir le meilleur (ou le moins pire, c’est selon). C'est-à-dire Burger King.
Là, c’est pareil. Entre les Levy et autres Musso (les kebabs de la rue St Denis), les Cornwell et Higgins Clark (les Mc Do), je choisis donc Coben.

Comme je suis également dans un moment ou j’essaie d’améliorer ma maîtrise de l’anglais, j’ai choisi de lire Miracle Cure dans sa langue originale.

Bon je ne vais pas faire durer le suspens, je n’ai pas été contaminé (XXL ce jeu de mots dites-moi…).
Il y a certes la barrière de la langue (entre le langage médical et celui politico-administratif, j’ai eu parfois un peu de mal).
Il y a eu également la série des Percy Jackson (j’ai commencé ce livre avant de commencer le 1er tome, et l’ai fini après avoir lu le 5ème opus) qui m’a obligé à me replonger 5 fois dans le livre.
Mais cela n’excuse pas tout. Je n’ai pas été pris dans le livre avant le dénouement. Trop d’histoires dans l’histoire, trop de personnages secondaires, trop de milieux différents.

Même si je dois le reconnaître, la thématique abordée est intéressante : jusqu’ou aller pour une bonne cause ? Y’a-t-il de une hiérarchie de bonnes causes ?
Et le talent de Coben est indéniable : 400 pages de mise en place pour un dénouement surprise en 50 (alors qu’on avait tous les indices) qui vous tient en haleine.

Bref, rien ne vaut le Whooper !

PS : hasard du calendrier, pendant que je lisais ce livre, on a reparlé de Magic Johnson, de sa séropositivité et du choc à cet époque, ou le SIDA n’était pas encore très bien connu.

Ce qui a forcément donné de l’intérêt à ma lecture !

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