vendredi 19 août 2011

Le scandale Modigliani, Ken Follet

Arrêtons-nous deux secondes avant de parler de ce livre (enfin quand je dis arrêtons nous, c’est pour être poli. C’est mon blog, c’est moi qui écrit, je fais ce que je veux ! Je vous invite à faire une pause, mais vous n’avez pas vraiment le choix)
Qu’est-ce qui fait que j’aime Ken Follet ? Sans partir dans les généralités (je n’ai finalement lu que 3 livres de lui, avant celui-ci), il a un cadre que j’apprécie.
Un cadre historique (je crois me répéter en écrivant que j’ai un penchant pour les « romans historiques ») qui se découvre dans la vie quotidienne des personnages. Une plongée dans des corporations, classes, corps de métier doublement enrichissante. Et une intrigue (le terme est peut-être un peu fort, nous ne sommes pas dans un policier ni dans un thriller) romanesque articulée sur la vie de quelques personnages, et ce dans la durée (voire sur plusieurs générations).

Ce livre donc, sur lequel j’ai craqué lors de ma dernière cession d’achats compulsifs au Virgin, ne semble au premier abord pas déroger à la règle.
Nous sommes dans les années 80, dans le milieu des marchands d’art.
Sauf que contrairement à mes précédentes lectures (vous me direz, vu l’épaisseur du bouquin, j’aurai du m’en douter), nous ne suivons qu’une tranche de vie. Par comparaison, nous sommes presque plus dans une nouvelle qu’un roman.
Résultat : je suis pour ma part resté sur ma faim. Je n’ai pas eu le temps de mettre la tête sous l’eau, à peine fini je suis déjà sec. Une baignade, que dis-je, une trempette sympa. Mais qui rafraichit uniquement.



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