mardi 15 novembre 2011

Le pays de la liberté, Ken Follet

Ken Follet. Une valeur sûre.

Depuis que j’ai lu Les Piliers de la Terre, je crois que je me plonge dans chacun de ses livres les yeux fermés.
Certes avec plus ou moins d’extase (carrément… vous avez raison, je m’emballe. Les souvenirs, vous savez ce que c’est. On ne se rappelle que des bons moments…).
Je reprends donc. Avec toujours le même appétit (dans le sens ou, une fois le livre entamé, j’ai du mal à m’arrêter. Au boulot par exemple, je crois que je suis plus content lorsque ma journée se termine d’avoir l’occasion de retrouver mes personnages que d’arrêter de travailler).
Avec peut-être un bémol sur Modigliani. Qui était plus une nouvelle qu’un roman. Ca doit être mon côté insatiable ça.
En plus, j’adore sa manière de faire. Pour faire une comparaison culinaire (je commence à avoir faim), c’est comme si un cuisinier prenait à chaque fois des ingrédients différents mais utilisait la même recette. Le résultat n’est jamais le même, pourtant on s’y retrouve et c’est réussi.

Celui-ci ne déroge pas à la règle.

Epoque : XVIIème siècle.
Lieu : Royaume-Uni (mais pas que)
Milieu social : les mineurs, les dockers… les petites gens qui se font exploiter par les méchants industriels (et les très méchants aristocrates).
Le reste, je vous laisse le découvrir. Mais encore une fois, j’ai l’impression de sortir de cette lecture moins bête (qui a dit facile ?), en ayant appris un peu d’histoire. Certes, ce n’est pas très objectif, c’est romancé… Mais ça vaut mieux que les cours de M. Morin, non ? (spécial kasdédi aux PHASE et TMES :p)

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